Troubles sexuels chez la femme

Comprendre. Accepter. Se libérer.

La baisse de libido, ou trouble du désir, est un phénomène influencé par de nombreux facteurs, tels que les variations hormonales, le stress ou des raisons psychologiques et émotionnelles qui se caractérisent par une baisse d’énergie sexuelle appelée la baisse de libido.

L’origine du trouble du désir est dans 80% des cas psychologique et émotionnelle. 

La perte de désir sexuel est influencée par une multitude de facteurs, parmi lesquels on retrouve :

• les variations hormonales : Les changements hormonaux liés à différentes étapes de la vie d’une femme, comme la ménopause, la grossesse ou le cycle menstruel, sont fréquemment responsables d’une baisse de libido.

Ces variations peuvent affecter le désir, l’excitation ou même la lubrification.

• le stress et l’anxiété : La vie moderne est rythmée par une multitude de défis. Qu’il s’agisse de stress professionnel, familial ou de préoccupations liées à la santé, ces éléments peuvent considérablement impacter le désir sexuel.
• La qualité de la relation : Ressentir un malaise ou une insécurité émotionnelle dans son couple empêche parfois l’énergie sexuelle de se libérer ce qui peut favoriser une baisse de libido.

Comme nous pouvons le constater, les causes de la baisse de libido chez la femme sont multiples et nécessitent un approfondissement au cas par cas. Pour en comprendre les causes et les origines du troubles, consulter une sexologue est fortement recommandé.

Symptômes de la baisse de libido : 

• Sentiment de vide ou d’absence de désir
• Difficultés à s’engager dans une relation intime
• Sentiments de tristesse ou de frustration liés à la sexualité

Approche personnalisée : 

Chaque femme est unique, et les solutions doivent l’être aussi. En explorant ensemble vos expériences, vos émotions, vos ressentis, nous pourrons identifier la source de vos maux.

Et ainsi, vous guider vers un chemin de guérison et d’épanouissement.

Explications psychologiques et émotionnelles cachées :

Lorsque j’ai accompagné des patientes rencontrant une baisse de libido, j’ai pu observer une caractéristique commune : la perte de confiance en soi et le goût à s’autoriser le plaisir. 

Une des raisons principales analysée est la peur d’être jugées et rejetées dans son identité sexuelle.

Cataloguées de « femmes faciles », les femmes n’osent assumer l’amazone qui sommeille en elles. 

Encore plus lorsqu’elles sont en couple et qu’il y a des sentiments. 

Elles craignent que leurs partenaires ne les jugent si elles se libèrent et qu’elles assument leurs fantasmes.

Bien évidemment ceci est une explication parmi tant d’autres, afin d’établir avec plus de précision la ou les origines émotionnelles et/ou psychologiques du trouble il est important de consulter une sexologue à votre écoute.

Les comportements des femmes qui rencontrent cette problématique :

Il est possible que les femmes rencontrant une baisse du désir déportent leur énergie sexuelle ailleurs que dans le champ relationnel intime. 

En surinvestissant l’éducation des enfants, en mangeant trop ou en se surchargeant de travail pour éviter d’avoir des rapports sexuels avec leur partenaire.

On appelle cela un déplacement libidinal.

*PS : Ici j’évoque la baisse de libido d’un point de vue psychologique et émotionnel. Il est tout à fait possible que l’origine de celle-ci soit liée à la prise d’un traitement médicamenteux ou à la suite d’une maladie. Il est toutefois important dans tous les cas de consulter une sexologue afin de développer des solutions adaptées à vos besoins.

Conséquences de la problématique :

De nombreuses tensions finissent par apparaître dans la relation. 

Les partenaires frustré(e)s se fâchent, s’impatientent et expriment possiblement leur colère par du rejet. 

Les femmes craignent que leur conjoint(e) ne les quitte ou ne les trompe. 

Elles culpabilisent de ne pas y arriver. 

Ce qui devient un cercle vicieux puisque plus elles craignent d’être rejetées, plus elles se bloquent et se ferment et moins la libido ne circule dans le corps.

Les conseils de votre sexologue :

Prendre soin de sa libido est très important. 

En effet c’est cette énergie de vie, qui vous permettra de vivre une vie sexuelle épanouissante. 

Mon conseil pour réveiller votre libido en berne est la créativité !

Autorisez-vous le jeu et la fantaisie. 

Plus vous nourrirez votre créativité et votre énergie de vie, plus votre libido se revitalisera. 

Alors pour une libido en berne, le maître mot est : le jeu ! 

Jouez, pétillez, amusez-vous et vous verrez, votre libido renaitra pour votre plus grand plaisir !

L’anorgasmie est le terme spécifique pour désigner la difficulté / l’absence totale ou partielle d’orgasme lors d’un rapport sexuel. 

Qu’est-ce qu’un orgasme ?

L’orgasme est une sensation de plaisir intense et transitoire qui crée un état de conscience modifiée souvent accompagné par des contractions involontaires de la musculature périnéale.

Il existe deux types d’anorgasmie.

L’anorgasmie est dite primaire si elle existe depuis toujours. Ainsi la patiente qui vient me consulter n’a encore jamais connu d’orgasme de sa vie.

L’anorgasmie est dite secondaire si l’anorgasmie survient après une difficulté, un traumatisme ou un trouble fonctionnel et/ou relationnel.

Les symptômes de l’anorgasmie : (liste déroulante)

• Possibilité d’excitation sexuelle sans atteindre l’orgasme
• Lubrification possible mais parfois difficile
• Impossibilité d’atteindre le plateau orgasmique
• Difficulté à la concentration
• Difficulté à s’autoriser le lâcher prise
• Difficulté ou absence de communication autour de la problématique
• Possibilité de douleurs lors de rapports sexuels
• Peur du regard de l’autre
• Manque de confiance en soi, mauvaise image de soi
• Émotions de : frustration, colère, tristesse, incompréhension, désespoir, sensation d’anormalité
• Accidents de la vie (difficulté au travail, problèmes financiers, deuil…)
• Peur de tomber enceinte
• Conditionnements psychologiques restrictifs
• Conditionnement religieux ou éducationnels 
• Rejet du corps et du plaisir
• Présence accrue d’émotions telles que la culpabilité et/ou la honte
• Mauvaise connaissance du corps et de ses zones de plaisir
• Trouble de l’identité sexuelle
• Baisse de confiance en soi
• Relation affective insécurisante émotionnellement

Explications psychologiques et émotionnelles cachées :

Au cours de ma pratique, j’ai pu observer que mes patientes atteintes d’anorgasmie étaient des femmes qui s’auto-censuraient dans la rencontre du plaisir. 

En effet, j’ai souvent pu constater que les origines de l’anorgasmie trouvaient racines dans l’éducation parentale, religieuse ou encore culturelle. 

S’autoriser le plaisir en toutes circonstances demande de bien se connaître et de se libérer de certaines croyances parfois limitantes et tenaces. 

Oser accéder à l’orgasme c’est oser libérer toutes les chaines qui verrouillent le plaisir et c’est aller à la rencontre d’une identité insoupçonnée : celle de la femme libérée.

Bien évidemment ceci est une explication parmi tant d’autres, afin d’établir avec plus de précision la ou les origines émotionnelles et/ou psychologiques du trouble il est important de consulter une sexologue à votre écoute.

Que se passe-t-il lorsqu’une femme ne parvient pas à atteindre un orgasme ? :

Une femme souffrant d’anorgasmie est une femme qui peut ressentir de l’excitation lors du rapport et lubrifier convenablement sans pour autant atteindre l’orgasme. 

Ainsi lors du rapport le plateau orgasmique n’est pas atteint générant frustration et incompréhension car il y a une sensation « d’être prêt à l’atteindre le but » sans y parvenir.

Le schéma du cycle orgasmique féminin se retrouve perturbé et bloqué au niveau du plateau du plaisir sans connaître le pic de plaisir appelé orgasme.

Comportements des femmes qui rencontrent cette problématique :

Les patientes rencontrant l’anorgasmie auront tendance à penser qu’elles ont un problème et qu’elles ne sont pas « normales. ». 

Aussi elles vont être amenées à développer un sentiment de culpabilité et de honte les poussant souvent à simuler un orgasme de peur d’admettre qu’elles n’y parviennent pas. 

Mais aussi pour ne pas frustrer leur partenaire.  

Conséquences de la problématique :

En simulant l’orgasme sans le savoir les patientes vont s’empêcher de vivre le véritable plaisir qu’il soit en solo ou à deux. 

Il est important de rappeler par ailleurs que le plaisir est possible sous toutes ses formes.

Enfin, la simulation empêche de creuser les causes profondes qui provoque l’anorgasmie et de s’en libérer, générant ainsi un cercle vicieux : je simule donc j’entretiens le blocage de manière inconsciente.

Les conseils de votre sexologue :

S’autoriser le plaisir demande de se donner le droit de vivre le meilleur pour soi. 

De choisir de s’aimer et d’accepter de recevoir l’amour en grand !

Alors il est grand temps de vous choisir mesdames ! 

Se choisir peut-être parfois un processus complexe, si vous sentez que cela représente un défi pour vous, je ne peux que vous conseiller de prendre soin de vous en vous offrant une séance avec votre sexologue. 

Autorisez-vous le plaisir.

Le vaginisme :

Définition générale :

Le vaginisme est un réflexe de contraction musculaire involontaire du périnée empêchant toutes formes de pénétration possibles dans le vagin.

Il existe 2 types de vaginisme :

Le vaginisme est dit primaire si aucunes pénétrations n’a été possible pour une femme depuis le début de sa vie intime.

Le vaginisme est dit secondaire ou situationnel si la femme a déjà expérimenté la pénétration dans sa vie intime de façon plus ou moins facile. Le rapport intime est donc possible mais parfois très douloureux en raison du réflexe de contraction. 

Les symptômes du vaginisme : 

• Sècheresse vaginale
• Difficulté de lubrification notamment durant la ménopause
• Contraction des muscles périnéale de façon réelle et involontaire
• Infections urinaires et/ou génitales à répétition 
• Mycose vaginale
• Malformation utéro-vaginale (syndrome de Rokitanski)
• Utérus rétrofléchi ou rétroversé (Dirigé vers l’arrière)
• Absence de sensation de plaisir ou d’excitation sexuelle
• Douleur lors de toutes ou certaines formes de pénétration 
• Traumatismes subis
• Traumatismes à la suite d’un ou plusieurs accouchements difficiles
• Trouble de l’identité sexuelle
• Peur de tomber enceinte
• Relation illégitime
• Trahison affective non pardonnée
• Peur de l’attachement
• Peur du rejet
• Peur de l’abandon
• Aménorrhée, règles douloureuses ou absentes, métrorragies (abondantes)
• Relation affective non sécurisante
• Rejet du corps
• Mauvaise connaissance de la sexualité
• Appréhension à la douleur
• Anxiété de pénétration
• Anxiété d’intimité affective
• Peur de la vulnérabilité
• Peur de ressentir et/ou d’exprimer ses émotions ( affectophobie )
• Rejet et dégoût de la sexualité et des organes sexuels
• Absence totale ou partielle de communication dans la relation

Explications psychologiques et émotionnelles cachées :

J’ai constaté que les patientes souffrant de vaginisme étaient des femmes qui se sentaient vulnérables à l’idée de laisser pénétrer par un partenaire dans ce qu’elles ont de plus intime. 

D’un point de vue émotionnel, les femmes craignent de se laisser pénétrer par l’amour. 

Ce qui se cache derrière la pénétration c’est : je baisse la garde et je peux potentiellement souffrir si mon partenaire me quitte ou m’abandonne.

Ainsi je ne prends pas le risque de souffrir. 

Je me protège en ne laissant entrer personne dans mon cœur et dans mon corps. 

Elles verrouillent leur intimité au plus profond d’elle-même.

Bien évidemment ceci est une explication parmi tant d’autres, afin d’établir avec plus de précision la ou les origines émotionnelles et/ou psychologiques du trouble il est important de consulter une sexologue à votre écoute.

Pourquoi le vaginisme provoque-t-il des douleurs ? :

L’anxiété à la douleur vécue et/ou appréhendée.

Il se peut qu’une expérience traumatisante vécue soit à l’origine du vaginisme. 

Généralement le vaginisme qu’il soit primaire ou secondaire est avant tout psychosomatique. 

La crainte de la souffrance physique et/ou émotionnelle provoque le réflexe de contraction/fermeture. Empêchant tout plaisir lors d’un rapport intime avec pénétration.

Comportements des femmes qui rencontrent cette problématique :

Les femmes souffrant de vaginisme vont chercher à fuir les rapports sexuels de toutes les manières possibles. 

Elles deviendront distantes avec leur partenaire et n’hésiteront pas à repousser  leurs avances au moment où la relation deviendra trop intime. 

N’avouant que très difficilement leurs difficultés, elles préfèrent sacrifier l’intimité de leur couple et la qualité de leur vie relationnelle plutôt que de devoir vivre un rapport douloureux. 

Ce qui est parfaitement compréhensible et naturel.

Conséquences de la problématique :

En cherchant à se protéger de « l’intrusion » de leur partenaire dans leur part la plus intime, les femmes souffrant de vaginisme vont en réalité entretenir leur souffrance sans même s’en rendre compte. 

Car c’est la libération émotionnelle qui permettra de « relâcher » la pression et non la surprotection !

Les conseils de votre sexologue :

Si l’amour est largement plébiscité tout autour de nous, il n’en reste pas moins un défi de taille pour celles qui ont vécu des épreuves dans leur vie. L’amour peut faire peur.

Véritablement.

Autorisez l’amour à entrer dans notre vie c’est accepter de lâcher des barrières protectrices et c’est la clef de votre libération ! 

Alors souvenez-vous que vous en êtes capables et que vous en avez les ressources. 

Peu importe votre histoire et votre vécu.

Vous pouvez tout réussir !

Vous n’êtes pas seule face à cette difficulté. 

Votre sexologue est là pour vous aider à vivre une vie intime et affective de qualité si vous en ressentez le besoin. 

De nombreuses femmes souffrent de frigidité autrement appelé anaphrodisie. 

Environ 50% des femmes souffriront d’anaphrodisie au moins une fois dans leur vie.

Alors qu’est-ce que la frigidité ou l’anaphrodisie ?

C’est l’absence totale ou partielle d’excitation et de plaisir (physique et émotionnel) sexuel. 

A ne pas confondre avec l’anorgasmie qui est l’incapacité à atteindre l’orgasme ou encore la baisse de libido qui est une baisse l’énergie de vie instinctive sexuelle. 

Ici, il est question de plaisir et de désir plus ou moins présent et ce de façon régulière.

Les symptômes de la frigidité :

• Sécheresse vaginale.
• Traitement médicamenteux (antidépresseur par ex)
• Présence de répulsion sexuelle totale ou partielle
• Vaginisme (contraction involontaire des muscles pelviens)
• Apparition de comportements d’appréhension et d’anxiété avant l’acte.
• Des éventuelles dyspareunies (douleur ressentie au cours d’un rapport sexuel) telles que la vulvodynie par exemple.
• Absence ou mauvaise connaissance de son corps et de ses zones de plaisir
• Absence totale ou partielle de communication dans la relation
• Traumatismes sexuels
• Traumatismes émotionnels
• Absence d’éducation sexuelle
• Trouble de l’identité sexuelle
• Rejet de l’identité sexuelle
• Conditionnements psychologiques restrictifs
• Conditionnements religieux et éducationnels restrictifs
• Stress, anxiété, tristesse, déprime voir dépression
• Malformation vaginale
• Menstruations douloureuses
• Aménorrhée, règles douloureuses ou absentes, métrorragies (abondantes)
• Anxiété de pénétration
• Anxiété d’intimité affective
• Peur de la vulnérabilité
• Peur de ressentir et/ou d’exprimer ses émotions ( affectophobie )
• Rejet et dégoût de la sexualité et des organes sexuels

Explications psychologiques et émotionnelles cachées :

Les causes de la frigidité sont souvent psychologiques et émotionnelles générant des conséquences physiques directes.

La frigidité est souvent liée à une forte restriction au plaisir, ainsi qu’à une dépréciation de soi. 

L’éducation reçue, l’environnement dans lequel la patiente a évolué ou encore les éventuels traumatismes subis peuvent en être la cause.

Pour autant j’ai pu constater lorsque j’ai accompagné des patientes souffrant d’anaphrodisie qu’il était souvent question de mésestime mais aussi de confiance en elles.

Confiance pour se sentir libre d’exprimer leurs envies et besoins sexuels en toute sécurité.

Elles se retrouvent en difficulté lorsqu’il s’agit d’estimer et d’affirmer leur propre valeur.

Bien évidemment ceci est une explication parmi tant d’autres, afin d’établir avec plus de précision la ou les origines émotionnelles et/ou psychologiques du trouble il est important de consulter une sexologue à votre écoute.

Comportements des femmes qui rencontrent cette problématique :

Les femmes souffrant d’anaphrodisie peuvent être enclines à ressentir de fortes doses de stress, d’anxiété, de culpabilité et de honte de ne pas être assez ou trop. 

L’image et le rapport au corps étant déficitaire, cela les empêche de se donner le droit au plaisir.

Une femme souffrant d’anaphrodisie est une femme qui rencontre des difficultés dans la véritable connaissance d’elle-même. 

En effet pour pouvoir s’autoriser le plaisir, le ressentir, le vivre et le partager il faut apprendre à bien se connaître. 

Bien connaître ses envies et ses besoins. 

Mais aussi de bénéficier d’un contexte relationnel sécurisant afin de pouvoir les exprimer convenablement pour être entendue, comprise et respectée par le ou la partenaire.

Conséquences de la problématique :

Or, je constate souvent malheureusement que cette méconnaissance de ses besoins ainsi que la difficulté à les exprimer est l’obstacle numéro un qui empêche la rencontre du plaisir et du bonheur pour mes patientes.

Il est naturellement plus complexe pour une femme d’apprendre à exprimer ses ressentis avec assurance. 

Les femmes ont une tendance naturelle à s’oublier au profit du bien-être de leur entourage. 

S’oubliant peu à peu au point de ne plus se connaître véritablement dans leurs envies et désirs. 

C’est un conditionnement sociétal courant qui n’aide pas à l’épanouissement sexuel.

Comment être entendue ? Valorisée ? Prise au sérieux sans être minimisée dans mes besoins ? Comment poser mes limites de façon ferme et bienveillante ? Comment me sentir respectée si j’ose exprimer mes fantasmes ?

Ce sont tous ces questionnements qui empêchent les femmes de s’épanouir dans la rencontre et l’expression de leur désir / plaisir.

Les conseils de votre sexologue :

J’ai la croyance que pour pouvoir s’épanouir en étant soi-même cela passe par l’acceptation. 

L’acceptation de qui nous-sommes, de nos parts d’ombres et de nos parts de lumières. 

Ainsi le premier conseil que je voudrais partager est le suivant : cessez de vous rejeter !

Vous êtes parfaites telle que la nature vous a faites mesdames.

Acceptez de ressentir des envies, des pulsions sexuelles. 

Il n’y a rien de mal à cela, c’est tout à fait naturel !